2025 s’est imposée comme une année remarquable pour le marché résidentiel au Québec. Dans l’ensemble de la province, le prix moyen des maisons vendues a augmenté d’environ 8 % comparé à l’an dernier. Cette hausse témoigne d’une forte demande, d’un contexte économique incitant à l’acquisition, et d’un intérêt soutenu pour la propriété.

État du marché au Québec

• Le marché reste tendu, avec un ratio ventes‑nouvelles‑inscriptions qui favorise les vendeurs.
• Le segment des plex (immeubles de 2 à 5 logements) montre une dynamique intéressante : demande élevée, délais de vente réduits, attrait pour les investisseurs.
• Pour les acheteurs, cela implique plus de concurrence — un bon dossier, un bon timing et une bonne stratégie sont essentiels.

Spécificités de Montréal et sa grande région

Dans la région métropolitaine de Montréal, le marché est particulièrement actif. En 2025 :

• Les ventes de maisons unifamiliales ont continué de croître de façon marquée, signe que plusieurs familles cherchent de l’espace, probablement en périphérie ou dans des quartiers résidentiels.
• Le segment des plex se distingue aussi, avec des hausses importantes de ventes — ce qui reflète un intérêt fort des petits investisseurs, mais aussi des familles cherchant un revenu locatif.
• Malgré une augmentation modérée de l’inventaire (notamment des condos), l’offre reste insuffisante face à la demande, maintenant les conditions favorables aux vendeurs.
• Les prix médians pour les différentes catégories grimpent encore — cela confirme que le marché est en plein regain, solide et compétitif.

Les leçons à tirer pour 2026

Pour 2026, plusieurs enseignements se dégagent du marché immobilier québécois et montréalais. La qualité et la présentation des propriétés deviennent encore plus déterminantes : une propriété bien entretenue, mise en valeur et présentée de manière professionnelle se vendra souvent plus rapidement et à un meilleur prix.

Les acheteurs et investisseurs doivent également rester agiles et réactifs, avec leur financement prêt et une bonne connaissance des quartiers et segments de marché les plus porteurs. Il est essentiel de viser des propriétés offrant un potentiel à long terme, comme des plex, des maisons unifamiliales bien situées ou des immeubles avec possibilité de revenus locatifs.

Enfin, malgré la forte croissance de 2025, il faut rester attentif aux fluctuations économiques et aux taux d’intérêt, et adopter une approche stratégique pour maximiser les avantages d’une vente ou d’un achat.

En conclusion, 2025 confirme que l’immobilier est resté un pilier d’investissement et un marché dynamique au Québec, et particulièrement à Montréal. Mais pour en tirer le meilleur parti pour l’année qui arrive — que ce soit pour vendre, acheter ou investir — il faut être bien préparé, bien conseillé et agir avec stratégie.

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